Réduire et valoriser la quantité de déchets dangereux et non dangereux évacués par les sites industriels du Groupe dans le monde
Modalités de l'engagement / l'action
ENGIE souhaite réduire les quantités de déchets produits par les sites industriels, et augmenter le taux de valorisation de ces derniers.
Les principaux déchets produits par ENGIE, hors fin de vie des équipements, sont les cendres, le gypse, les boues ou le bois flotté. Ceux-ci représentent 86% des déchets produits, le reste étant qualifié de déchets non spécifiques. Pour chacune des catégories, un déchet est considéré comme dangereux s’il présente une des caractéristiques critiques (inflammabilité, corrosivité, réactivité ou toxicité).
La valorisation des déchets peut se faire sous forme de valorisation énergétique, valorisation en produits ou matériaux, recyclage des matières premières, ou encore épandage. Chaque site ou activité travaille à la valorisation et/ou au recyclage de ses déchets les législations variant d’une région à l’autre du monde.
Le Groupe s’est doté en 2023 d’objectifs opérationnels de réduction de production des déchets dangereux (-95% en 2030 vs 2017) et non dangereux (-80% en 2030 vs 2017).
La réduction de production de déchets et leur recyclabilité sont étudiées dès la conception des projets et pour l’ensemble du cycle de vie de l’activité, dans le respect de la hiérarchie des déchets définies par l’Union Européenne. Ce critère fait partie intégrante de l’analyse des enjeux RSE des projets.
Le Groupe, au travers des équipes de recherche & développement notamment, travaille également avec les concepteurs, les fournisseurs et les filières de recyclage pour diminuer l’impact sur les ressources. Par exemple, ENGIE est impliqué dans le projet Zebra qui a pour objectif de développer des pâles d’éoliennes 100% recyclables.
Les principaux déchets produits par ENGIE, hors fin de vie des équipements, sont les cendres, le gypse, les boues ou le bois flotté. Ceux-ci représentent 86% des déchets produits, le reste étant qualifié de déchets non spécifiques. Pour chacune des catégories, un déchet est considéré comme dangereux s’il présente une des caractéristiques critiques (inflammabilité, corrosivité, réactivité ou toxicité).
La valorisation des déchets peut se faire sous forme de valorisation énergétique, valorisation en produits ou matériaux, recyclage des matières premières, ou encore épandage. Chaque site ou activité travaille à la valorisation et/ou au recyclage de ses déchets les législations variant d’une région à l’autre du monde.
Le Groupe s’est doté en 2023 d’objectifs opérationnels de réduction de production des déchets dangereux (-95% en 2030 vs 2017) et non dangereux (-80% en 2030 vs 2017).
La réduction de production de déchets et leur recyclabilité sont étudiées dès la conception des projets et pour l’ensemble du cycle de vie de l’activité, dans le respect de la hiérarchie des déchets définies par l’Union Européenne. Ce critère fait partie intégrante de l’analyse des enjeux RSE des projets.
Le Groupe, au travers des équipes de recherche & développement notamment, travaille également avec les concepteurs, les fournisseurs et les filières de recyclage pour diminuer l’impact sur les ressources. Par exemple, ENGIE est impliqué dans le projet Zebra qui a pour objectif de développer des pâles d’éoliennes 100% recyclables.
Leviers mobilisés pour l'économie circulaire (d'après l'Ademe)
Échéances prévisionnelles de mise en œuvre
Début
2023
Fin
2030